L'amour n'a point d'âge : il est toujours naissant.[Akiyo]

Maladie mortelle... Pourquoi avait il fallu que ce soit ce qu'on lui annonce au sujet de la maladie dont était atteinte sa mère. Il avait toujours été un fils exemplaire. Certes un peu beaucoup capricieux mais toujours tendre,aimant et affectueux. Et puis il y a un an on lui avait annoncer ça en même temps que l'on annoncer cela à sa mère. Imaginer dans quel état la mère de Yasuo s'était retrouvé. prise de sanglot ,le jeune homme avait du retenir ses larmes et le reste pour proteger sa mère. Depuis ce jour,s'était lui qui s'occupait quasiment de tout dans la maison. Il vivait seul maintenant mais passer beaucoup de temps chez sa mère pour l'aider à gérer ce qu'elle ne pouvait faire par elle même et il avait embaucher un voisin pour que ce dernier passe voir sa mère tout les jours et exauce le moindre de ses désirs. En échange Yasuo lui donner un jolie somme.

Pourquoi repensait-il à tout cela maintenant?Parce qu'il se trouvait dans sa chambre, dans son lit pour être plus exact et qu'il tremblait de tout son long. Il avait fait un cauchemar atroce,un de plus. Cela n'arrêtait plus,quand Akiyo n'était pas là pour dormir avec lui les mauvais rêves s'enchainer. Celui de cette nuit avait été l'enterrement de sa mère,suivit d'une rupture avec celle qu'il désirait épouser dans un jour prochain. Aussi il saisit son téléphone portable et téléphona au voisin qui devait s'occuper de sa mère et l'envoya immédiatement chez sa mère pour voir si elle allait bien. Puis il avait envoyer un SMS"Retrouve moi chez moi dans une heure,j'ai besoin de ta présence. Je t'aime Y'",il tapa naturellement le numéro qu'il conaissait par cœur depuis bientôt trois ans et demi,celui de Akiyo, la seule capable de le calmer après ce genre de rêve. Et elle le comprendrai par le SMS.

Il sortit de son lit en caleçon et surtout en sueur et fila sous une douche brulante qu'il savoura en essayant de se sortir les images de cette nuit de la tête. Puis il sortit et attrapa un peignoir de soie qu'il enfila le temps de se raser rapidement et de se coiffer de manière convenable ses cheveux en ce moment de leur couleur naturelle,brune. Il attrapa ensuite un jeans taille basse qu'il enfila au dessus d'un caleçon propre et ne pris pas la peine d'enfiler un t-shirt,après tout,Akiyo était sa petite amie et probablement future femme,ils n'en étaient plus à ne s'être jamais vue nu. Il se versa ensuite un grand bol de thé au jasmin qu'il vida rapidement avant de s'installer dans le canapé en cuir de son salon. Oui il avait sa propre maison parce que Papa avait décider de se faire pardonner de ne pas avoir pu l'emmener avec lui cet été. Il alluma la télé mettant une chaîne quelconque avec des clips pour se changer les idées.

Il rester 10 minutes avant l'arrivée de sa petite amie,si comme il l'esperait elle était réveillé ce dont il était presque certain vue qu'il était 11 heures et qu'elle avait bien lue le SMS ce dont il était presque aussi certain puisque l'un comme l'autre faisait attention au moindres appels ou SMS dans le cas ou ce serai une urgence familiale ou amoureuse. Il n'avait aucun doutes par contre sur le fait que si elle ai reçu le message elle ai décider de le rejoindre,car le fait qu'il n'ai pas mit"peux tu me rejoindre" signifiait bien qu'il avait besoin d'elle et elle devinerai surement pourquoi vue comme les mauvais rêves avait fini par devenir fréquent pour la jeune Yasuo.

Un bruit vint taquiner les oreilles d'Akiyo. Un bruit qui n'était certes pas agréable, mais qui, pourtant, commençait à devenir habituel pour la jeune Kurotani. Ce bruit n'était autre qu'une vibration sur du verre, le verre de son chevet. Cette vibration venait sans doute de son portable, il vibrait assez souvent en ce moment. La demoiselle tenta ouvrit ses yeux, bien qu'elle eut un peu de mal, étant donné que ceux-ci étaient légèrement collé après cette longue nuit. Pour une fois, elle avait bien dormit, bien qu'elle n'était pas en présence de Yasuo. La jeune Kurotani saisit rapidement son portable et appuya sur un bouton afin de désactiver la veille qui s'était enclenchée, puis elle observa l'écran. Un nouveau message de la part de son petit ami. Elle s'empressa alors de l'ouvrir et lut le contenu de celui-ci. Lorsqu'elle eut finit de lire ce dernier, ses yeux s'ouvrirent de plus belle. Il s'était forcément passé quelque chose, sans doute avait-il encore fait un mauvais rêve, ce qui l'avait mit dans tout ses états.

Akiyo savait très bien qu'elle se devait de se rendre chez lui, surtout depuis qu'elle savait que la mère de son petit ami était malade et que cela ne pouvait être guéri. Même si, au moment présent, elle avait une chose urgente à règlée, celle qui l'était le plus était de se rendre chez Yasuo et de le consoler comme toute bonne petite amie le ferait. Une chose était sûre, jamais elle ne le laisserait tomber, elle savait qu'il avait besoin d'elle, et c'était aussi le cas pour elle. Ils avaient besoin l'un de l'autre, c'était certain, tout le monde pouvait le remarquer rien qu'à les voir ensemble. Le perdre ne serait que malheur pour elle et sa vie ne serait plus jamais comme elle l'était en ce moment. Elle était tout simplement la femme la plus heureuse au monde avec lui, et elle espérait qu'il était heureux avec elle aussi.

Sans se poser de question sur ce qu'elle avait à faire aujourd'hui, Akiyo sauta de son lit et se dirigea tout droit vers son armoire. Elle en sortit rapidement un slim assez clair et un t-shirt noir, avec une bouche imprimée sur celui-ci. La première chose qu'elle allait faire à présent ? Prendre une bonne douche, histoire de bien être réveillée, et surtout, de se laver, c'était sans doute le plus important des deux. Saisissant des sous-vêtements au passage, elle se hâta jusqu'à la salle de bain. Elle espérait surtout que personne n'y était car elle n'hésiterait pas à le faire sortir de la douche en disant qu'elle était réellement pressée et qu'elle devait être le plus rapidement possible chez Yasuo. Celle-ci était libre, et heureusement. Une trentaine de minutes s'écoula et la voilà à nouveau dehors, en train de se préparer, c'est à dire : maquillage et coiffage. Comme coupe, elle ne s'embêta pas réellement, elle ne fit que se coiffer rapidement, laissant ses cheveux relachés.

Dernière mission : Prendre un petit déjeuner. Pour cela, elle se dépêcha, comme elle le faisait d'ailleurs depuis qu'elle était debout. Elle saisit un bol et versa du lait et des céréales à l'intérieur, puis mangea, avec hâte, certes. Une fois terminée, elle était quasiment prête, il ne lui restait plus qu'à enfiler une veste et à prendre de l'argent et ses clés. Pourquoi de l'argent ? Elle ne savait jamais si elle allait sortir à un moment ou à un autre avec Yasuo, c'était tout à fait probable, alors tant qu'à faire, si elle pouvait en avoir, elle en prendrait, au moins elle était sûre. Pour une fois, ce ne serait pas lui qui lui pairait quelque chose, elle pourrait le payer elle-même, et lui payer quelque chose aussi. Attrapant tout ce qui lui manquait et enfilant sa veste, elle se dirigea vers la porte d'entrée de la maison des Kurotani. Elle ne prendra pas de voiture étant donné qu'il n'habitait pas énormément loin non plus, il ne lui faudrait que dix minutes à pieds pour qu'elle y soit. Go.

Akiyo appercevait d'ici la maison de son petit ami et elle se dépêcha de plus belle. Elle était bien à l'heure, il lui avait dit environ une heure, et il y serait, comme elle y était d'habitude. La japonaise n'était que très rarement en retard et Yasuo devait le savoir depuis le temps, du moins elle l'espérait. A présent devant la porte d'entrée, elle sonna puis attendit que son homme vienne lui ouvrir. Elle espérait qu'il se dépêche, surtout.

Spoiler:

Il ne savait pas pourquoi les mauvais rêves étaient devenu si fréquent en ce moment. Dès qu'elle n'était pas à ses côtés pour la nuit,il passait du mauvais côté de la barrière des songes... Et il ne savait pas en sortir avant la fin du cauchemar. Se réveillant dans un état pas possible,en pleine sueur froide... C'était très désagréable et surtout cela le perturbait un peu. Il n'avait pas l'habitude d'avoir à faire face à ce genre de chose depuis qu'il était avec Akiyo. En effet depuis qu'il était en couple avec elle tout les mauvais rêves qu'il pensait appartenir au passé avait disparu. Et là sans qu'il ne sache bien pourquoi ni comment ils étaient revenu en force. L'autre jour,Akiyo avait passé la nuit chez lui et elle l'avait reveiller pour la rassurer tant il sembler mal dans son sommeil. De plus tout les mauvais rêves se ressemblaient,il y perdait soit sa mère,soit sa petite amie,soit les deux selon les nuits. Mais il s'agissait toujours d'une chose qui le briserai sans aucun doutes si jamais elle devait arriver.

Il n'avait bien sûr parlé de ses mauvais rêves qu'a sa petite amie. Sa mère était trop fragile pour lui encombrer l'esprit avec ça,son père s'en moquer surement comme de sa première chemise,il n'adressait que très rarement,voir jamais la parole à sa belle mère,et ses amis étaient bien trop peu nombreux pour qu'il en discute avec eux. La seule en qui il avait entièrement confiance et qui ne risquer pas de trop paniquer était Akiyo. Elle le rendait vraiment très heureux. Depuis qu'il était avec elle il se sentait bien et heureux,il souriait plus qu'avant,il aimait parfois des choses très simples de l'avis,lui d'habitude si capricieux était avec elle quelqu'un de plus attentionné que jamais. Il rester lui même avec elle,et il n'avait pas peur de montrer le côté sensible et à fleur de peau de sa personnalité.

De plus quand un cauchemar venait violemment mettre en péril le reste de sa nuit,il ne parvennait plus à se rendormir. Quand aujourd'hui il se réveillait 11h00 ce n'était pas vraiment un soucis,quand il se réveillait vers 05h00 ça en devenait un surtout lorsqu'il avait cours le lendemain. Ça nous donnez un Yasuo qui dormait à moitié sur sa table prenant des notes distraites durant le cours puisqu'il ne captait pratiquement rien à ce que disait le prof,trop occupé à essayer de rattraper de sa nuit. Il fumer trop souvent en ce moment en plus. Tout cela était bien sûr les conséquence de ces nuits qu'il ne finissait pas ou de ces mauvais souvenirs qu'il revivait ou mauvaise intuitions en ce qui serai probablement ou pas son avenir. Pour lui son avenir devait être simple,il deviendrai patron d'une grande entreprise,et il épouserai Akiyo et éventuellement ils auraient des enfants. Cela semblait plutôt simple mais c'était idyllique aux yeux du jeune Takeba.

Il était donc installé dans le canapé en cuir,à moitié rallonger essayant presque de s'endormir alors qu'il ne savait que trop bien que ses efforts seraient vain dans tout les cas. Il regardait dans le vide prêtant une oreille des plus inattentives aux sons qui sortaient de la stéréo reliés à la télévision plasma,petit cadeau qu'il s'était fait lui même. Un jour,sa mère viendrai à mourir,il le savait. Il savait aussi que ce serai plus tôt que les gens de la même génération que cette dernière. Mais il n'était pas prêt à la voir mourir. Elle n'était pas incapable d'agir, elle était juste plus fragile qu'avant. Et il n'était pas rare que Yasuo sorte avec elle faire des courses ou aller au restaurant ou au cinéma quand il en avait le temps. Et même si ces sorties se faisaient rares ces derniers temps,elle comptait beaucoup pour le jeune étudiant. Et il n'était pas encore prêt et pas encore capable de s'en penser. Pour l'instant il avait besoin d'elle et il voulait préserver sa mère un maximum de temps.

Il entendit alors frapper à la porte,c'était sans doutes Akiyo. Il se leva enfilant les chaussures d'intérieur dont il laissait plusieurs paires disponibles à l'entrée de la maison et une qui appartenait justement à sa belle puis il se dirigeât doucement vers la porte qu'il finit enfin par ouvrir,toujours torse nu. Il la vit, elle était toute jolie. Fraiche et superbe voilà les mots qu'il utiliserai si on lui demander de definir Akiyo en deux mots.

-Désolé si je t'ai réveillé...

Akiyo attendait devant la porte, impatiente de savoir réellement ce qu'il se passait, bien qu'elle se doutait qu'il n'allait pas bien, encore une fois. Mais le moment qu'elle eut d'attente ne fut pas très long, il était assez vite arrivée à la porte, comme les fois précédentes lorsqu'il était dans cet état-là et qu'il l'a faisait venir. Lorsqu'il ouvrit la porte, Akiyo l'observa, bien que son regard se posa sur son torse, ce qu'elle n'avait pas pu empêché. Tout en l'observant, elle écoutait ses paroles, bien qu'il n'avait pas dit grand chose, juste quelques mots pour s'excuser s'il l'avait réveillée. Un léger sourire s'afficha sur le visage de la japonaise, un sourire qui voulait dire qu'il n'avait aucune raison de s'excuser. Puis, elle prit la parole à son tour.

Akiyo : Ne te fais pas de soucis, réellement. Si c'est toi, ça ne fait rien, et tu devrais bien le savoir depuis le temps qu'on est ensemble. Tes soucis, sont mes soucis, donc je me dois de venir, et ça ne m'embête pas, crois-moi ^^

Suite à ses paroles, Akiyo pénétra dans la résidence de son petit ami, enlevant ses basket avant cela, pour ensuite enfiler ses pantoufles. Toujours son sourire au lèvre, elle observa à nouveau son petit ami puis s'approcha de lui et l'embrassa. Après cela, la jeune Kurotani saisit son poignet, sans serré, ne serait-ce qu'un chouïa, et le tira légèrement dans l'une des pièces d'où sortait des sons, les sons de la télévision. Une fois dans le salon, elle s'installa, faisant en sorte que Yasuo fasse de même et le regarda. Après un court moment de silence, où seul la télévision se laissait entendre, elle prit la parole, encore une fois.

Akiyo : Qu'est-ce qu'il se passe ? Explique-moi... Encore ces mauvais rêves qui ne te lâchent pas ?

Suivant ceci, la japonaise posa sa main sur la joue de son homme et la lui caressa, pour que son esprit s'appaise, pour qu'il se calme à nouveau. A présent, elle était là et il ne devait plus s'en faire, tout irait bien, comme cela l'était avant. Elle était venue exprès pour lui, pour le réconforter. Il devait sourire à nouveau, sourire comme il l'avait fait le jour précédent lorsqu'ils étaient ensemble et qu'ils sortaient, main dans la main. Elle n'aimait réellement pas le voir dans cet état, lorsqu'il n'allait pas bien, elle n'allait pas bien non plus, c'était assez simple en fait. Ils ne faisaient qu'un, du moins c'est ce que se disait Akiyo depuis un certain temps déjà, après un peu plus de trois années passées à ses côtés, elle savait très bien qu'il était le bon, et qu'il ne la trahirait pas comme certains autres l'avaient fait avant qu'ils ne soien ensemble, donc qu'elle ne souffrirait plus autant, voir même plus du tout, c'est ce qu'elle espérait du plus profond de son coeur.

Akiyo : Je veux que tu sache, encore, que je t'aime du plus profond de mon coeur, et que donc, si tu ne vas pas bien, moi non plus. J'ai besoin de savoir exactement, je veux que tu ailles mieux, tu comprends ?

Ces paroles, elle ne les aurait pas prononcés à ses précédents petits amis, car à réfléchir parfaitement, il était la personne qui comptait le plus pour elle, et surtout la personne qu'elle aimait le plus, depuis qu'elle était petite, et c'était sûr et certain, elle voulait l'épouser dès qu'elle le pourrait. Et cela, elle ne cesserait jamais de lui prouver, mais en faisant en sorte, tout de même, qu'il ne s'en lasse pas, car s'il s'en lassait, elle ne saurait plus quoi faire, et cela se transformerait sans aucun doute en drame. Une relation comme la leur, vous n'en trouverez nul part d'autre. Akiyo laissait parraître son côté émotif et toutes ses qualités, seulement à lui, les autres n'auraient jamais cette opportunité. Eux ne verraient que ses défauts, son mauvais côté, celui que la plupart déteste. Même sa famille ne la connaître jamais exactement du côté des qualités, le côté que Yasuo devait sans doute connaître quasiment par coeur depuis tout ce temps.

Le jeune garçon avait lui aussi laisser son regard courir sur celle qu'il aimait depuis maintenant 3 ans et demi. Il était toujours aussi amoureux d'elle,si ce n'était pas d' avantage. Jamais il n'avait ressentit autant de choses pour une femmes. Jamais il n'avait trouver aussi magnifique une jeune fille de son âge. Ses précédentes petites amies avaient pratiquement toutes étaient plus vieille que lui et il n'avait jamais ressentit autant de choses à leur égard. Et pour cause,il ressemblait tellement à Akiyo et inversement que depuis qu'ils étaient ensemble,ils n'avaient presque plus besoin de parler pour se comprendre. Du moins pour savoir si l'autre aller bien ou non et si il était d'accord ou non avec ce qu'ils avaient décidé quand ils devaient prendre une décision.Leur relation était tellement intense et fusionnel que parfois cela étonnait un peu le jeune homme.

-Je sais... Mais je te fais ça trop souvent en ce moment. Je n'arrive pas à trouver d'où ça vient et tu es la seule capable de me calmer... Je ne peux pas en parler à ma mère... Elle est trop fragile en ce moment. Mais vas-y,entre.

Il lui laissa le passage et ferma la porte derrière elle,lui laissant ainsi le temps d'enfiler ses pantoufles. Ils les avaient choisi ensemble,les siennes et celle d'Akiyo... Puis elle s'approcha de lui,se hissa sur ses pieds et l'embrassa. Il répondit bien sûr au baiser avec tendresse et amour. Il la laissa le guider vers le salon. Elle savait comment faire pour qu'il aille mieux et il la laissait maitresse de ses faits et gestes. De toute façon après une nuit aussi atroce il n'était pas en état de se rebeller. Elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait,même lui demander d'aller lui décrocher la lune,il le ferai.Avec elle il était simplement lui et c'était tellement plus simple ainsi.

-Bien deviner... Je ne peux plus,ça fait 4 jours cette semaines,je ne tiendrai jamais la rythme à cette fréquence.

Il la laissa s'approcher de lui puisqu'ils étaient tout deux installés dans le canapé en cuir. Il sentit la fine et douce main de la jeune femme venir se posée sur sa joue. Elle était tellement douce avec lui. Il posa sa main par dessus celle de la jeune femme en fermant doucement les yeux comme pour profiter de l'instant d'apaisement qu'elle lui offrait. Le simple fait qu'elle soit venue si rapidement chez lui dès qu'elle avait reçu son SMS ne faisait que lui prouver encore un peu d'avantages qu'elle était bel et bien la femme de sa vie et qu'elle serai sans doutes la seule à être capable de le rendre heureux. Il savait bien qu'elle ne le laisserai pas,mais inconsciemment il avait tellement peur qu'elle ne l'abandonne. Il la demanderai en mariage un jour... D'ici un an,peut être moins. Mais d'abord il devait régler ses soucis personnel. Il ne voulait pas que sa demande soit gâché par un soucis du genre. Il voulait que tout soit parfait pour le jour ou il lui demanderai d'être sa femme.

-Je sais... Je t'aime aussi tellement. Tu sais je ne sais pas pourquoi,ce genre de rêve ne m'était pas arrivé depuis que nous sommes ensemble. Je ne sais pas pourquoi ils sont revenu...J'aimerai pouvoir t'expliquer pourquoi...Mais je ne le sais pas moi même.C'était un cauchemar ...atroce... Ma mère venait de mourir et...tu me quittais le jour de son enterrement.

Il semblait si fragile quand il lui racontait tout cela. Il ne l'aurai sans doutes raconté à personne d'autres. Que ce soit des amis ou de la famille. Il ne voulait pas se montrer aussi fragile devant sa mère qui en ce moment avait plus que jamais besoin de sûreté. Son père se serai bien moquer de lui si il avait sembler aussi fragile devant lui. La seule qui savait à quel point son passé avait pu le briser et le rendre aussi sensible c'était elle. Pour les même raisons qu'il était le seul à connaître les qualités de sa belle,elle était la seule à connaître ses faiblesses . Qui bien que enfouit et peu nombreuses étaient grande et encore douloureuse. Il déposa un nouveau baiser sur les lèvres de Akiyo en laissant ses mains lui retirer sa veste. Il faisait chaud dans l'appartement et elle serai mieux en t-shirt. Il noua ses deux mains à celle de la jeune fille en lui souriant comme il le pouvait à la fin de ce doux et délicieux baiser. Elle était presque une drogue pour lui... Non en fait,elle était sa plus grande drogue.

Akiyo : Trop souvent ? Ca ne fait rien, tu en vaut largement la peine, sache-le ! Et si je trouvais que cela faisait trop, je ne viendrais pas, de même si tu m'embêtais avec tout ça.

Qu'il l'a croive ou non, elle lui dirait de toutes les manières qu'elle le pouvait qu'il était sa raison de vivre, sa vie, tout simplement. Qu'elle n'était là que pour lui et qu'elle ne tenait qu'à lui. Enfin, disons tout de même qu'elle tenait un chouïa à sa famille, mais là, c'était lui premièrement, le reste, on verra après. Akiyo savait pour sa mère, bien qu'elle ne l'avait pas encore vue depuis qu'ils étaient ensemble... Ou si, peut-être une fois, mais cela faisait bien longtemps tout de même, alors c'était quasiment comme si. La mère à Yasuo l'avait parfaitement bien accueillie, et elle avait été assez contente de la réaction de celle-ci, qui ne l'avait pas jugé à la première vue ou quelque chose dans le genre. Elle avait été très sympathique, peut-être plus que l'avaient été ses propres parents avec Yasuo. Ce n'était pas pour rien qu'elle allait souvent chez lui pour dormir, et pas chez elle. De plus, chez son petit ami, ils étaient au calme contrairement à la maison, où elle s'engueulait souvent avec sa soeur cadette, Hoshi, ce qui énervait peut-être son homme, elle ne savait pas, mais elle éviterait jusqu'à ce qu'elle et sa soeur se calment. Ce n'était pas un univers pour lui, voyant déjà ce qu'il vivait maintenant, il ne devait pas apprécier tout cela. Puis lorsque le japonais reprit la parole, elle l'écouta, attentive, tout en l'observant, faisant garde à tout ses faits et gestes, à écouter le son de sa voix, si elle tremblait ou non. Et, voilà qu'elle reprit enfin la parole, lorsqu'il eut fini à son tour.

Akiyo : Si tu veux, je resterais ici pour dormir, pour la semaine, peut-être plus. Il faut que tu dorme bien, sinon tu ne suivras pas dans les cours, donc je te tiendrais compagnie et je veillerais sur toi comme il le faut, tu es d'accord ?

Une chose était sûr, même s'il disait non, bien qu'elle savait très bien qu'il ne le ferait pas, elle resterait tout de même. Et lorsqu'il irait mieux, ce jour-ci encore, elle cherchera des affaires chez elle, en sa compagnie, pour qu'il l'aide dans le choix des vêtements. Puis ils s'organiseraient peut-être une petite sortie pour remonter le morale à Yasuo, en espérant qu'il irait mieux quelques temps après la discution ici présente. Lorsqu'il reprit la parole pour expliquer comme il le pouvait son rêve, Akiyo l'écouta d'une oreille attentive. Mais tout en expliquant celui-ci, il expliquait ses rêves, il expliquait qu'il ne les avait plus eut depuis un certain temps, qui était assez long tout de même, étant donné que cela faisait depuis qu'ils étaient ensemble, quelques années déjà, quoi.

Akiyo : Je te quittais le jour de son enterrement ? Jamais je ne ferais ça, jamais ! Le jour de son enterrement, je serais avec toi, près de toi, là pour te réconforter, te consoler de son décès ! Mais pour le moment, ne pense pas à ça, fais ton possible pour ne plus faire de mauvais rêve, moi, je t'aiderais à présent, c'est sûr, compte sur moi. Ta mère est encore parmis nous, et j'en suis bien heureuse, car une mère comme la tienne ne mérite pas de mourir, et tu le sais parfaitement, tu le sais autant que moi ! Ta mère est extraordinaire, et ce que tu fais pour l'aider depuis que tu sais sa maladie, c'est ce que tout autre fils devrait faire, tu es exemplaire, tu dois le savoir, My Love !

Sur tout ce qu'elle venait de dire, rien n'était faux. Akiyo aurait aimée avoir une mère comme Yasuo a eut et a toujours encore à présent, au moins, lui, n'était pas dans une guerre, bien que s'ils étaient ensemble, il s'y hissait de plus en plus et qu'un jour, il sera meilleure victime des Nagaoka, surtout par Sayuri, la pire ennemie d'Akiyo. Plus idiote qu'elle ? Nul part, il n'y avait personne qui l'était, elle ne savait même pas ce qu'elle disait, ni ce qu'elle faisait. La japonaise ne la supportait pas, c'était sûr et certain. Et si elle pouvait l'exterminer à coup de rayons laser ou la torturer jusqu'à ce qu'elle craque, elle serait heureuse, mais pas autant qu'elle l'était avec Yasuo. Akiyo se voyait déjà porter le nom de Yasuo, et voyait parfaitement inscrit sur une plaquette " Mme Takeba ". Ce serait exactement la perfection, ce dont tout le monde rêve, et que personne d'autre n'aura jamais. Néanmoins, la Kurotani se méfiait bien d'une chose : que Sayuri n'approche son petit ami. Cette dernière savait très bien que si elle le perdait, elle ne serait plus rien et qu'elle laisserait sans doute tout tomber en tombant dans une dépression inimaginable. Soit, elle en serait morte par après. Akiyo savait aussi une chose : Sayuri en était parfaitement capable...

-Je sais... Je dois être un peu parano sur les bords,mais j'imagine que tu avais autres choses de prévu pour la journée non.? Après tout,si tu veux et que tu n'as rien de prévu,on peut passer la journée ici,en amoureux...

Qu'elle le croit ou non,Yasuo aimait beaucoup la famille de Akiyo. Elle était tellement vivante,et quoi qu'elle en dise pleine d'amour. Certes sa mère était vraiment quelqu'un d'extraordinaire qu'il n'échangerai pour rien au monde,mais parfois un foyer familial comme il avait pu en connaître avant le divorce de ses parents lui manquer. Surtout qu'en fait,il avait toujours un peu souffert d'être enfant unique même si cela lui avait donner bien des avantages. Chez Akiyo,ils étaient quatre enfants,et même si sa petite amie ne s'entendait pas du tout avec sa plus jeune sœur,Hoshi on sentait bien l'amour que pouvait se porter les frères et sœurs. Le lien qui l'avait le plus impressionner au début était celui qui liait Komei et Akiyo. Ils avaient beau être de faux jumeau ils se ressemblaient vraiment beaucoup et ils étaient très drôle à voir lorsqu'ils étaient ensemble.C'était sans doutes ce qui dans la vie de Yasuo lui avait le plus manquer,à lui le petit fils à maman chérie qui a tout ce qu'il veut. Un frère ou une sœur,qui aurai été là pour le soutenir à l'époque du divorce pour lui dire que ce n'était pas de sa faute si les parents Takeba se séparaient. Mais il ne s'en était jamais vraiment plein. Il s'occuper seul de sa mère, son père avait peut être eut un autre enfant mais jamais Yasuo ne le considérerai comme frère ou sœur. Pas après ce que son père avait fait à sa mère. Et puis maintenant,il avait Akiyo et la famille Kurotani. Il sourit et reprit:

-Oui... Mais tes parents seront d'accord? Je ne tiens pas à etre une source de dispute avec ta famille,et tu le sais. Oui c'est ce dont j'ai peur,être claquer pendant les cours sans moyen de rattraper ces heures de sommeil...Les rêves devraient se calmer si tu es là et au pire tu pourras me consoler...

Si il y avait bien une chose qui surprenait le jeune homme dans le fait d'avoir ces cauchemar c'était bien qu'ils avaient disparu durant pratiquement 3 ans et demi . Pourquoi refaisaient-ils surface aujourd'hui? Ça n'avait absolument aucun sens... Akiyo était la seule personne capable de l'aide dans ce genre de cas où il allait si mal. Avec elle il n'avait même pas besoin de mot,la preuve le simple sms lui demandant de venir lui avait fait comprendre qu'il avait sans doutes fait encore un mauvais rêve. C'était sans doutes à cause de la si grande ressemblance qu'ils se comprenaient aussi bien et sans avoir besoin de parler. Qui se ressemble s'assemble et même si les gens étaient plutôt surpris de voir à quel point leur couple était solide et fort il résistait toujours et s'aimaient comme au premier jour. C'était beau l'amour....

-Je n'ai pas vraiment le choix... Elle s'est toujours occupé de moi et mon père se moque un peu du fait qu'elle soit atteinte d'une maladie mortelle... Lui tant que sa petite jeune va bien... Il se tape une fille qui a deux ans de plus que moi... J'en reviens pas. Je pensais que malgré le divorce c'était encore un homme bien... Mais non. C'est peut être un peu ça qui me perturbe aussi... Il m'a écrit dans sa dernière lettre que je serai peut être bientot grand frère... Je ne veux pas d'un ou d'une demi frère ou soeur...Je voudrais qu'il revienne et qu'il s'occupe de ma mère.Cela peut sembler un peu enfantin mais ma mère n'a plus jamais été aussi heureuse depuis le divorce. Elle est très heureuse de t'avoir rencontrer et que je sois heureux avec toi mais elle n'est plus aussi...épanoui qu'avant.

Il savait bien que ses rêves de voir ses parents à nouveau ensemble pouvait paraître très enfantin mais il n'arrivait pas à croire que plus jamais ils ne les verraient heureux ensemble. Il n'imaginer pas comment après 14 ans de mariages on pouvait divorcer comme ça sans rien dire à personne,sans que personne ne s'y attende. Il ne savait pas et n'avait jamais su d'ailleurs pourquoi ses parents s'étaient séparé. Maintenant qu'il grandissait il commençait à pouvoir comprendre. Son père avait sans doutes tromper sa mère. Finalement ce n'était pas si étonnant de sa part vu qu'il sembler maintenant prendre les femmes au berceau. Car au final,même si la famille de sa petite amie était en guerre contre une autre famille depuis plusieurs années,jamais leur famille ne s'était dissolue. Alors que dans la sienne où tout avait sembler être créer pour aller bien dans le meilleure des mondes et bien ce n'était plus si beau que cela. Mais il préférait ne pas penser à ça et attira sa petite amie contre lui. Il avait besoin de sa présence plus que jamais. Il laissa ses lèvres venir se coller à celle de Akiyo avant de les laisser glisser doucement dans son cou et dans sa gorge. Sentant ce délicieux parfum fleurie et fruité qui émanait de sa peau blanche et douce comme de la soie. C'était sans aucun doutes Akiyo le meilleur remède à tout ses soucis.

Akiyo : Quelque chose de prévu ? Je ne sais pas, je me suis levé tellement vite, depuis, je n'ai pas encore réfléchit sur ce sujet là. Mais rester avec toi me plait bien plus que toute autre activité que j'aurais voulut faire sinon, bien que je n'en ai aucune idée...

Suite à ces paroles, un sourire s'afficha sur les lèvres de la demoiselle. La seule chose qu'elle demandait était de passer encore plus de son temps avec son petit ami, après tout, il était la personne qui l'a faisait vivre. Séparée de lui, elle n'allait pas aussi bien que lorsqu'elle était en sa présence, tout comme Yasuo lui avait déjà fait comprendre. Les Kurotani était peut-être une famille active et soudée, mais à côté, ce n'était pas toujours le cas. Du moins, certains jalousaient Komei, étant le chouchou de la famille, cela se comprenait vu que les parents Kurotani s'occupaient plus de ce dernier et moins des quatre autres. Ensuite, il y avait Hoshi, qui n'avait rien, mais absolument rien n'à voir avec Komei, Nobuo, Chika et elle-même, du moins c'est bien ce qu'Akiyo ne cessait de se dire depuis qu'elles étaient jeunes, et surtout depuis qu'elle avait vu cette bouille d'ange arriver dans la famille. Enfin, disons plutôt lorsqu'elle arrivait mieux à réaliser ce qui allait se passer avec cette fille dans la famille. La seule chose qu'aimait Hoshi était le shopping. Puis elle était aussi une parfaite bitch, qui pensait un peu trop au maquillage et tout cela. D'ailleurs, non seulement elle en mettait une tonne, mais elle gardait la salle de bain pour elle pendant deux heures, ce qui révoltait assez les autres la plupart du temps. Si Akiyo avait été plus âgée lorsque sa soeur cadette était arrivée à la vie, elle l'aurait sans doute étouffé avec tout ce qu'il arriverait à avoir.

Puis il y avait bien sûr Nobuo, le plus âgé de ses deux frères, envers qui elle était extrêmement attachée, peut-être même un peu plus qu'envers Komei. Nobuo jouait avec tout ce qu'il avait sous la main, que ce soit des objets ou bien même une fille, ce qui l'amusait assez, mais se disant quand même qu'à la place de cette dernière, elle lui aurait déjà coupé ce qui faisait de lui un homme. Et enfin, l'aînée de la famille, Chika. C'était bien elle qui était LA victime de cette guerre, et qui, selon des rumeurs qui avaient circulé dans la ville lors de sa naissance, serait la fille de la mère Kurotani et du père Nagaoka. Puis il y avait aussi les parents, qui, selon d'autres personnes, avaient eut un peu trop d'enfants et n'arriveraient jamais à faire face à cette guerre, du moins pas pour un long moment encore. Alors que cela, ils le faisaient depuis bien plus de vingt ans à présent. Ce qu'ils ne savaient surtout pas, c'était qu'Akiyo continuerait cette guerre avec ses frères et soeurs, peut-être même avec Yasuo ? Enfin, peut-être qu'il préfèrerait rester en paix, lui...

Akiyo : Si mes parents seront d'accord ? A mon avis oui, et ce ne sera sûrement pas toi qui sera source de conflits dans ma famille, crois-moi. Ils ne me diront pas non, de toute manière, et puis au moins, j'éviterais de voir la peste. Tu n'as plus à avoir peur de cela, je suis là, maintenant, déjà, et je serais là au moins toute la semaine. Tu rattraperas ton sommeil, et s'il le faut, tu dormiras sur moi, tu sais, comme le font les bébés sur leur mère ?

Si elle le prenait pour un bébé ? Non, loin de là, elle n'aimait pas savoir qu'il n'arrivait pas à dormir tranquillement, c'est tout. Et si elle arrivait à le faire dormir en paix de cette manière-ci, elle le ferait, c'était certain. La seule chose qu'elle désirait, c'était qu'il ne fasse plus ces mauvais rêves, qu'il soit à nouveau comme il l'était avant de refaire ceux-ci. Elle ne comprenait vraiment pas pourquoi cela lui arrivait à lui, il était déjà devenu si sensible à cause de la maladie de sa mère, maintenant il le devenait à nouveau plus à cause de ses cauchemards. Si elle avait été à sa place, elle n'aurait jamais tenue. Akiyo observa un instant son petit ami et lui fit un petit sourire, un sourire qui se voulait consolant. Elle voulait le voir sourire, le voir aller mieux. Le voir comme il était avant. Le Yasuo du paravant lui manquait, il était moins sensible dans le passé, lorsqu'elle l'avait connut. Mais d'un autre côté, ce n'était pas si mal que cela à présent. Sauf qu'il n'allait pas bien, c'était ce qu'elle n'aimait pas. Voilà tout. Il fallait remédier à ses soucis personels, sachant qu'elle allait bien de son côté, enfin, pas si bien étant donné que lui n'allait pas bien non plus. La Kurotani savait très bien que Yasuo était son âme-soeur, sa moitié, rien qu'en voyant qu'elle n'allait pas bien non plus lorsque ce n'était pas le cas pour lui.

Akiyo : Je veux que tu fasse une chose, encore. Oublie ton père, fais comme s'il n'existait pas, ça te fait du mal de penser à lui, de savoir qu'il s'en moque comme de sa première couche. Deux ans de plus que toi ? Elle a à peine sa majorité et il est avec elle ?! Attends, mais, je plaints... Je plaints leur enfant, du moins s'ils en ont, si c'est bien réel tout ça. Il pourrait être son grand-père, il n'a aucune morale. Le pauvre sera victime de moqueries de la part des autres élèves. Enfin, sachant que ton père n'a pas de cerveau... Ce n'est pas étonnant. Ni pense plus, s'il te plait. Tu sais très bien qu'il ne reviendra pas, se taper une petite jeune c'est beaucoup plus simple, elle ne dira rien, elle, elle a tant à apprendre sur la vie encore, comme toi et moi, d'ailleurs. Et je pense que ce soit normal qu'elle n'aille plus aussi bien qu'avant, losqu'on perd un être cher, ce n'est pas normal si l'on va parfaitement bien, encore... Malheureusement, là-dessus, je ne peux t'aider, et je ne pense même pas que toi, tu peux les aider...

Un court instant après avoir parlé, Akiyo regarda son petit ami, tout en tournant légèrement sa tête vers la télévision. Cela ne dura pas très longtemps pour qu'elle l'observe à nouveau, se sentant attirée vers lui. Il l'avait tiré lentement contre lui, et elle n'avait pas essayé de résister, de se reculer ou quoi que ce soit dans le genre. Il approcha ensuite ses lèvres de celles de la jeune fille. Un baiser certes court mais très agréable, comme l'avaient toujours été les précédents avec Yasuo. Après celui-ci, le jeune Takeba glissa ses lèvres dans le cou de l'universitaire, ce qui laissa cette dernière frissoner. Elle avait en même temps penchée sa tête légèrement sur le côté, de façon à ce qu'il accède plus facilement à son cou et qu'il ait plus d'espace que si elle gardait la tête droite. Yasuo avait toujours été agréable avec elle, ce qui parraissait même quelques fois étonnant aux yeux de la japonaise. Akiyo fit glisser l'une de ses mains sur la cuisse du jeune homme, les laissant ensuite aller dans le bas de son dos, faisant même glisser le bout de ses doigts dans le caleçon du jeune homme. Ce n'était certes pas grand chose, mais elle n'allait pas mettre sa main entière à l'intérieur afin de l'avoir sur sa fesse, sachant qu'il était assit. Sa deuxième main, elle, glissa sur son torse et s'y arrêta également, caressant légèrement celui-ci avec ses doigts. Les moments qu'elle passait avec lui, surtout ceux-ci, elle les aimait, horriblement d'ailleurs, c'était sans doute ce qu'elle préfèrait.

-Tu sais,que plus on avance et plus nous devenons dépendant à l'autre... C'est très inquiétant,c'est une drogue tellement...agréable. Je suis beaucoup plus accro à toi que je ne l'ai jamais été à mes clopes et pourtant dieu seul sait combien de clope j'ai pu fumer dans ma vie.

Dit il en essayant de lui sourire du mieux qu'il le pu. Elle était tellement de chose à ses yeux. Celle qui lui avait appris le sens du mot bonheur dans cette vie. Celle qui lui avait fait comprendre que certes avoir tout ce qu'on voulait c'était agréable mais aimer et être aimer,c'était encore tellement mieux. Oui elle était celle qui l'avait changer mais non radicalement. Plutôt pour le rendre encore meilleure et parfait. C'était aussi grâce à la relation qu'il partageait avec elle qu'il avait compris à quel point aider sa mère été important. Et la voir quand elle était chez elle,en compagnie de ses frères et sœurs était une chose assez amusant qui l'avait beaucoup angoissé au début. Il avait peur de ne pas plaire aux parents de sa petite amie qui pourrai lui refuser de lui offrir la jeune femme même si il doutait que Akiyo ai respecter la volonté de ses parents. C'était une jeune femme plutot comme lui assez libre qui n'en avait pas vraiment grand chose de ce que pensait les autres et qui faisait plus ou moins ce qu'elle avait envie de faire et pas le reste. Il se souvenait de sa premier entrée chez les Kurotani. Il se souvenait de Komei et Nobuo les frères de sa petite amie qui s'était d'abord montré un peu méfiant. De peur sans doutes qu'il ne fasse du mal à leur sœur c'était un peu normal. Puis il se souvenait de sa rencontre avec Hoshi. Il n'en avait pas cru ses yeux. Elle était tellement différente de celle qu'il aimait. Elle était pratiquement bitch alors que sa petite amie était tout le contraire. Elle avait même essayer de faire les yeux doux à Yasuo quand elle l'avait vue,sans doutes pour embêter Akiyo puisque les deux filles se détester.

Finalement avec le temps et les sentiments si forts qu'il ressentait à l'égard de sa petite amie,il avait réussi à être totalement adopté par la famille de cette dernière et Nobuo et Komei était pratiquement ses meilleurs amis même si il ne partageait pas le côté coureur du plus âgé des deux. Il se souvenait aussi de sa première rencontre avec Chika l'ainée de la famille. Elle ressemblait beaucoup plus à Akiyo que Hoshi ne lui ressemblait. C'était assez amusant de voir comme Akiyo pouvait quasiment être fusionnel avec Nobuo ou Komei et détestait voir haïssait littéralement Hoshi. Et puis leurs parents. C'était vraiment deux personnes très sympathique qui avait de suite,après leur premières rencontre avec ce dernier,adopté Yasuo. Il fallait dire aussi que c'était plutôt un très bon parti vu l'argent que son père lui donner tout les mois et l'argent que sa mère avait déjà de côté. De plus,il hériterai de l'entreprise familiale dès qu'il serai en âge d'en prendre la tête. En résumé,le jeune Takeba aimait vraiment beaucoup la famille de sa petite amie même si il avait du mal avec Hoshi puisque sa petite amie la haïssait. Mais cette famille était aussi très différente de la sienne,déjà par le nombres et ensuite par les liens qu'ils avaient.

-J'espère bien,si je veux éviter quelque chose c'est bien être une source de conflit dans ta famille. Hum... Tu t'occupes trop bien de moi,tu sais ça? Comment veux tu que je dorme sur toi comme les bébés sur leur maman alors que je suis plus grand que toi...Mais je ne suis pas contre du tout...Seulement,encore faut il que je sois capable de rester calme en dormant sur toi et ça c'est beaucoup moins certain... Tu es tellement magnifique. Je vais avoir beaucoup de mal à ne faire que dormir à tes côtés tu sais...

Il se souvenait aussi du jour où il l'avait emmené chez sa mère. Cette dernière avait attendu avec une grande impatience de rencontrer la petite amie de son fils unique. Car sa mère autant que Yasuo avait peur de l'échéance qu'ils savaient tout simplement inévitable. Et elle avait toujours dit qu'elle ne voulait pas mourir avant d'être certaine que son fils ai trouver la femme de sa vie. Même si au début elle avait eut un peu peur qu'il soit avec une Kurotani en raison de la guerre que se livraient les familles Kurotani et Nagaoka mais elle avait était rapidement rassuré quand elle avait vue Akiyo aux côtés de son fils et surtout en voyant tout l'amour que se portaient les deux étudiants qui n'était à l'époque que des étudiants. Oui,durant les périodes où il avait ce genre de cauchemar,depuis qu'il savait que la maladie de sa mère n'était pas susceptible de guérir et depuis qu'il se sentait mal comme c'était le cas en ce moment,il était plus sensible que d'habitude.Il savait qu'Akiyo n'aimait pas le voir aussi sensible et par conséquent aussi fragile,mais c'était presque les seuls moment où son côté fragile apparaissait. Et elle était la seule sur Terre avec sa mère peut être à être capable de le proteger durant ce genre de période. C'était aussi pour cela qu'il avait tant besoin d'elle en ce moment. Qu'il ne supportait quasiment plus qu'elle soit loin de lui. Même ne serais-ce que chez elle alors que c'était à seulement quelques mètres.

-Je sais bien. J'essaye tu sais,mais voir ma mère dans cet état renforce presque l'envie qu'il revienne. Je lui en veux tellement,et pourtant je suis certain que si il franchissait la porte,et me disait qu'il voulait de nouveau de ma mère,je lui pardonnerais . J'ai était outré quand il m'a présenter cette fille qui pourrai être ma sœur. Comment peut il oublier ma mère dans les bras d'une fille sans importance qui ne dit l'aimer que pour son argent sans doutes. Dans tout les cas, devant la loi,à sa mort elle n'aura rien. L'entreprise sera a moi. Et si ils ont un enfant... Et bien peut m'importe. Ce batard ira grandir avec sa mère. Mais loin de moi et de ma mère. Il lui a fait tant de mal que de toute façon,avec toute la genti-
lesse qu'elle a elle ne serai pas capable d'autoriser l'enfant à grandir avec moi. Et je n'en veux surement pas. Et mon père qui espère se racheter en m'offrant cette maison... Le seul avantage que m'offre cette maison c'est être prêt de toi. Et que l'on puisse se retrouver tout les deux quand on en a envie.

Puis il s'était plus ou moins laisser emporter par ses sentiments,ses envies et son amour pour la femme qui était à ses côtés. Il l'avait d'abord tout à fait innocemment attiré vers lui et l'avait embrassé avec tendresse et amour. Comme il le faisait toujours,Akiyo était bien la personne avec qui il était tendre et doux. Puis ses lèvres avaient doucement déviés vers la gorge de sa petite amie et puisqu'elle lui avait laisser libre accès il était parti re explorer son cou. Il sentit alors une des fines mains de sa petite amie venir sur sa cuisse avant de partir dans son dos,le faisant frissonner par la même occasion surtout quand elle glissa le bout de ses doigts dans son boxer. Puis il sentit son autre mains venir glisser le long de son torse . Qui était encore musclé par l'athlétisme qu'il pratiquait. Lui laissa ses lèvres repartir sur la gorge de la jeune femme en la faisant finalement basculer en arrière. Akiyo étant allonger sur le dos dans le canapé et lui au dessus d'elle. Hum ce n'était peut être pas l'endroit pour ça,vue la baie vitrée... Mais pour l'instant tout restait très sage alors ils n'avaient pas besoin de bouger... Il laissa l'une de ses mains passer sous le t-shirt de sa petite amie tandis que l'autre glisser dans ses cheveux et vint se placer dans sa nuque pour ne pas qu'elle se fasse mal.Il la fit glisser un peu pour que sa tête soit posé sur un oreiller du canapé puis vint lui murmurer au creux de l'oreille d'une voix remplit de désir et d'amour:

-Dis moi dès que tu veux passer à l'étage...

Mais ses mains étaient déjà bien occupés à passer tout les deux sous le t-shirt de la jeune femme en caressant pour le moment son ventre plat. Il n'avait pas encore assez libre accès pour monter un peu plus haut.

Akiyo : Et j'espère bien que tu sois plus attaché à moi qu'à tes cigarettes, parce que de mon côté, si je ne t'ai plus, c'est la fin, c'est simple.

Encore une fois, cette phrase fut prononcée avec un beau sourire, comme elle avait bien l'habitude de le faire face à son petit ami. Il était la seule chose sur laquelle elle pouvait compter, du moins la seule personne, bien qu'à côté de cela, elle avait bien ses frères et sa soeur... Oui, vous avez parfaitement lu, sa soeur. Pourquoi ? Parce que tout simplement Hoshi n'était pas considérée comme sa soeur, assez simple à comprendre d'ailleurs, vu la relation qui trônait entre elles deux. Et les seuls moments où elles s'entendaient, ne serait-ce qu'un minimum, était lorsqu'elles y étaient légèrement obligé, en fait. Et oui, c'était bien lorsqu'elles étaient confrontés aux Nagaoka qu'elles devaient l'être, et d'ailleurs elle devait faire en sorte du mieux qu'elles pouvaient de s'entendre, pour s'unir face aux idiots du Japon. Pourquoi idiots ? Parce que tout simplement elle les trouvait idiots, ils étaient peut-être en nombre égale, mais n'était que plus ridicules les uns que les autres. Certes cela pouvait partir même dans leurs cours, s'ils se retrouvaient dans les mêmes sections, sans doute que même là, la paix ne règnerait plus. Du moins, la mini paix, car il restait tout de même quelques vâcheries, entre les cours, sachant que quatre de chaque famille étaient au lycée, alors ne vous demandez pas pourquoi cela était comme ça.

Akiyo : Et, je t'ai dis plus d'une fois que tu devrais arrêter de fumer lorsque tu pouvais encore, ce n'est pas bon pour ta santé, et tu le sais. En plus, je n'aime pas vraiment cette odeur...

Elle devait être franche, elle aimait Yasuo plus que tout ce qu'elle possédait, plus que le monde entier, mais cette odeur de tabac la dérangeait quelque peu. Surtout lorsqu'ils s'embrassaient, cette odeur immonde, il l'avait toujours en bouche, même s'il se brossait les dents, elle ne partirait pas, et l'universitaire savait très bien que son petit ami aurait du mal à arrêter étant donné qu'il fumait depuis quelques temps déjà. Enfin, elle respectait tout à fait son choix s'il ne voulait pas arrêter, elle s'y ferait après tout, et puis ce n'était pas cela qui allait enlever tout l'amour qu'elle portait à son égard. Elle voulait porter son nom, mais elle ne lui avait jamais dit, sans doute attendait-elle le bon moment. Enfin, de l'autre côté, elle ne savait pas non plus pour lui, mais quelque chose lui disait qu'il n'était réellement pas contre, et cela la fit sourire encore une fois, dans le vide cette fois-ci, bien qu'elle n'eut pas de raison réelle, du moins, qu'elle eut énoncé à haute voix ou qu'il ait dit, pour faire cela. Peut-être allait-il penser qu'elle devenait folle à cause de cette guerre ? A cause de sa soeur peut-être. En tout cas, le sourire s'enleva rapidement de sa bouche, espérant ainsi qu'il n'ait rien vue de ce qu'elle venait de faire. Cela pouvait être humiliant, surtout pour elle, pour ce qu'elle se disait sans cesse. La honte, elle en avait peur, plus que tout au monde, ou peut-être tout de même moins que de perdre son tendre amour. Ou futur mari, si seulement elle lui disait. Takeba Akiyo, ça sonnait bien, pas vrai ? Un jour elle s'appellerait comme cela, sans doute. Un jour, elle prendrait son courage à deux mains, sans avoir peur de se recevoir un " non " dans la figure, le jour où elle n'aura plus cette crainte était encore loin, malheureusement. Ou peut-être lui dirait-il ? Du moins, s'il en avait l'intension un jour, le jour qui serait le plus beau pour la jeune femme, sans aucun doute probable.

Akiyo : Jamais tu n'en seras une. La seule source de conflit qui peut être, est bien un autre que toi, mes frères ont tellement confiance en toi, maintenant, qu'ils n'accepteraient sans doute jamais une autre personne. Hm, je pense que c'est ce que je dois faire... Et si ce n'est pas le cas, bien c'est mon droit, non ? Pshht, on trouvera bien une solution, n'est-ce pas ? Ou tu rétrécis !

Un léger rire sortit de la bouche de la jeune femme. Pourquoi cela l'avait fait rire ? Le fait qu'elle ait dit qu'il devrait rétrécir, et non pas qu'elle devrait grandir, sans doute était-elle trop attachée à sa taille actuelle, bien qu'elle ne soit pas réellement grande. Et puis, à côté, il n'était pas un géant non plus, il n'y avait même pas dix centimètres de différences entre eux deux, alors une solution simple et efficace était sans aucun doute possible. Enfin, pour Akiyo ça l'était, bien qu'elle n'en avait pas encore trouvée une à l'instant présent, elle aurait vite fait de la faire. Puis, un court instant après ces mots, elle reprit.

Akiyo : Rester calme ? Je suis certaine que tu y arriveras, au moins après deux ou trois nuits ! Tu garderas tes pensées perverses de côté, ne serait-ce que quelques nuits, le temps que tu récupère au moins ton sommeil, non ? Ou tu ne peux réellement pas te passer de moi, hein ? Ou... Au pire, je t'assome, et voilà, le tour est joué !

Sur cette dernière phrase, la japonaise tira légèrement la langue. Rien de bien méchant, évidemment, cela l'amusait, un peu, c'était tout. Elle se demandait bien ce qu'il ferait, ou bien même dirait après cela. Elle espérait ne pas tarder à le découvrir, hm. Mais le silence qui était venu trôner un instant dans la pièce, ne tarda pas à se faire ejecter par le son de la voix d'Akiyo. Elle parlait trop ? Peut-être, mais elle en était fière.

Akiyo : T'es rien qu'un gros bébé, tu sais ça ? Si c'est pas le cas, moi je le sais, ha. Hm... Je t'aime.

Un sourire angélique et innocent vint s'afficher sur ses lèvres. Elle l'aimait, c'était certain. Peut-être trop, même, mais ça, ce n'était pas grave, elle avait l'habitude à présent, il était son prince charmant... Enfin, peut-être n'était-il pas si serviable envers les autres qu'un prince habituel, mais c'était sans doute pour cela qu'il n'appartenait qu'à elle, et que le jour où elle voyait une fille roder autour de lui, elle n'hésiterait pas à s'en faire une parfaite cible. D'ailleurs, si c'était le cas, c'était bien que celle-ci ne tenait absolument pas à la vie, car on ne touche pas à ce qu'Akiyo possède, voilà tout. Et surtout, mais alors surtout pas, à son petit ami. Pas à l'être le plus précieux, plus précieux qu'un diamant, plus précieux que tout. Puis, Yasuo reprit la parole et Akiyo l'écouta d'une oreille attentive. Elle se demandait bien ce qu'il allait dire.

Akiyo : Elle pourrait être ta copine, surtout. Enfin, si tu ne m'appartenais pas, disons plutôt. Si jamais tu as un problème avec cette histoire, si ton père mourait, je te soutiendrais, je viendrais te défendre, crois-moi, tu peux en être sûr et certain. Et s'il tentait de t'approcher avec cet enfant, sois sûr qu'il ne t'approcherait qu'une seule fois, et pas une deuxième. Ne me demande pas pourquoi, surtout. Le mieux, c'est qu'il ne t'en parle pas, ou que tu tente au moins d'ignorer ce sujet, au moins celui-là, même si je sais que c'est dur. En passant, tu as bien raison de parler de la sorte je pense, il ne sera rien d'autre qu'un fils de pute, non ? Ton père ne fait que se la taper, à mon avis, il doit aller en voir d'autre. Enfin, passons sur ce sujet, ça te fait du mal.

Elle espérait qu'il aille mieux, et qu'il n'y pense plus. C'était tout ce qu'elle voulait. Après un court instant, voilà l'instant que nous n'allons pas décrire une fois de plus, je pense qu'il l'a déjà été décrit assez souvent jusqu'à présent, non ? Rappelons juste les nouvelles choses. Le frissonement de son petit ami fit sourire la jeune Kurotani, c'était sans doute un signe qu'il appréciait au moins ce qu'elle lui faisait, bien que ce n'était pas quelque chose de très important, rien que ses doigts dans le caleçon de Yasuo pour venir le caresser légèrement, pas plus. Puis il l'a fit finalement basuler en arrière, pas brutalement, heureusement dirons nous, elle ne désirait pas se faire mal ou quelque chose, elle ne saurait pas quoi expliquer à ses parents si c'était le cas, ils se soucieraient un peu trop de ce qu'il se serait passé dirons-nous directement. Peut-être trop protecteur pour elle. Elle passa ensuite sa main droite dans le dos de son petit ami, la laissant glisser sur celui-ci jusqu'à atteindre sa nuque. Elle ne voulait pas non plus se fait mal au poignet en le laissant plier trop longtemps. Puis elle sentit l'une des mains de son petit ami passer sous son t-shirt, ce qui laissa un frisson parcourir son corps l'espace d'un instant, et se sentit glisser légèrement sur le canapé, pour enfin avoir sa tête posée sur l'un des coussin. Elle se rappela soudain de la baie vitrée qui n'était qu'à quelques mètres des deux jeunes tourtereaux, peut-être valait-il mieux monter dans la chambre de son petit ami. Ce qui ne tarda pas à sortir de la bouche de son petit ami, en murmure désirant et amoureux. Un sourire s'afficha à nouveau sur le visage de l'étudiante, et, déposant un baiser sur la tampe à son petit ami, elle prit à son tour, dans un murmure qui se voulait sensuel :

Akiyo : Maintenant... ce serait préférable, je pense...

Dommage pour lui, qui venait d'enfiler sa deuxième main sous le t-shirt de la japonaise, ce qui l'avait à nouveau fait frissoner, mais bien sûr pas autant qu'elle le faisait lorsqu'ils passaient à l'étape supérieure, disons. Elle l'aimait, et aimait surtout leurs moments intimes, lorsqu'ils se trouvaient chez lui, vu que chez elle, il y avait trop de monde, trop de bruit pour être tranquilles aussi.

-Je n'ai pas parler du fait d'être attacher,car il est certain que je suis bien plus attacher à toi qu'a mes clopes,mais je parle de dépendance pure et dur... Crois tu que sans toi je tiendrais plus longtemps que toi?

Yasuo ne conaissait tout simplement pas les Nagaoka. Il était arrivé au lycée en même temps que Komei,et Akiyo. Et il avait tout simplement était dans la même classe que la jeune Kurotani. Il était peu à peu tombé sous son charme et quand elle était devenu sa petite amie il avait commencer à s'intéresser de plus prêt à la guerre que se livrait les deux familles. Il en avait appris les raisons et les avait parfaitement comprise. Si c'était lui qui avait été victime de rumeur du genre,il n'aurai pas supporter du tout. Et il n'avait donc jamais chercher à faire conaissance avec les Nagaoka puisque depuis bientot 4 ans,il filait le parfait amour avec la jeune Kurotani. Même lors de l'entrée de Sayuri,la pire ennemie de sa petite amie. Si il y avait une personne que Akiyo haïssait encore plus que Hoshi,c'était bien Sayuri.Il se souvenait bien pourtant,d'un jour où Sayuri,voyant Yasuo sans Akiyo qui avait été malade était venu lui parler. Il l'avait gentillement envoyer balader, puis elle avait commencer à s'acharner en essayant même de lui faire les yeux doux. Il s'était énervé et l'avait envoyer balader de façon plus...violente. Comme il savait l'être. Depuis elle ne lui avait plus jamais adresser d'autres mots que les piques perpétuelle qu'il se lançait, pique remplit de haine... Comment pouvait il ne serais-ce qu'imaginer être sympathique avec cette fille si prétentieuse et idiote.

-Je sais bien... Mais tu sais aussi bien que moi que j'ai déjà essayer et jusqu'ici ça a toujours été un échec. Je ne fume plus beaucoup,juste quand j'en ai vraiment besoin... Et je fais mon possible pour l'odeur. Ne t'inquiètes pas.

Yasuo se souvenait parfaitement de sa première cigarette. Presque aussi bien que de son premier baiser.Il avait 15 ans,c'était quinze jour après l'annonce du divorce de ses parents. Un ami lui en avait tendu une,il n'avait pas eut la force de dire non et l'avait mise dans sa bouche tandis que son amis l'allumer à l'aide d'un briquet. Depuis ce jour,où il avait tout d'abord toussé à cause de la fumer,il était totalement accro. Même si ces dernières années il était parvenu à réduire sa consommation,il restait un fumeur et un addicte par conséquent. Mais il essayer de fumer le moins souvent possible. En général c'était trois tubes de nicotines par jour quand il allait bien: un au reveil,un en milieu d'après midi et un le soir. Quand il était avec elle il parvenait à supprimer celle de l'après midi. Mais quand il allait mal et qu'il était seul,il pouvait facilement fumer un ou un demi paquet. Un jour peut être il réussirai à arrêter définitivement,mais le jour n'était pas encore venue. Et même si il savait que la jeune femme n'appréciait pas l'odeur de tabac ni la saveur âcre qu'avant ses lèvres,quand il venait d'éteindre la clope,il ne pouvait faire autrement. C'était plus fort que lui. Comme tout bon dépendant .... Il ne put s'empecher de remarquer le sourire qui flotta quelques instants sur les lèvres de sa petite amie,sans pourtant aucune raison apparentes,mais parfois il ne fallait pas chercher à comprendre ou à savoir,il fallait juste savourer les instants tels qu'ils se présentaient et croquer la vie à pleine dent,c'était la mentalité du jeune emmerdeur profesionnel. Un jour,il en était certain il lui demanderai de l'épouser. Il était certain que c'était la femme de sa vie et rien ne pouvait l'empêcher de l'épouser,mais il était encore trop craintif d'un non pour être capable de le lui demander. C'était plus compliqué qu'il n'y paraissait de demander sa main à une jeune femme,surtout quand la jeune femme en question compte autant qu'Akiyo ne comptait aux yeux de Yasuo.

-J'avoue que jamais je ne pensais que Komei et Nobuo ne m'accepterai aussi bien. Ils sont tellement sympa... De même pour Chiza,il n'y a que Hoshi qui me fait un peu peur parfois,mais après tout.... Tant qu'elle ne me fait plus jamais les yeux doux. Oui c'est ton droit et je ne t'en empêcherai jamais...Je reste un enfant gâté dans l'âme.... Et pour ce qui est de cette solution,oui nous trouverons... Mais je refuse de rétrécir.

Dit il en souriant amusé. Cette fille était vraiment sans aucun doutes,son petit soleil. Sans elle,la vie serai bien terne et ennuyeuse, aucun doutes là dessus. De plus elle était bien la seule capable de le faire sourire comme il le faisait en ce moment même après la nuit d'enfer qu'il avait passé. Mais dans le sens littéral du mot enfer... Aucun doutes là dessus,sans Akiyo il ne serai et ne vaudrai pas grand chose. Et elle était la chose qui était devenu le plus nécessaire à son bien être et à sa joie. Le pire souvenir qu'il gardé était quand elle était partie en vacance avec sa famille et que lui était rester en ville,elle lui avait tellement manqué...

-Me passer de toi? La question ne se pose même pas,c'est simplement impossible... Et pour ce qui est de rester sage,tout dépend de mon état,et de la façon dont tu t'habilleras pour la nuit. Je ne peux rien t'assurais,mais j'essayerai de calmer mon petit côté pervers quelques nuits histoire de récupérer... Mais les autres nuits,tu m'appartiens ma belle...Non pas d'assomage,tu vas abimer ma bouille d'ange.

Dit il en prenant une fausse moue boudeuse,accompagner d'un sourire qui ferai craquer n'importe quelle demoiselle,mais auquel seul Akiyo avait le droit quand ils n'étaient que tout les deux,comme c'était le cas aujourd'hui. Il éclata de rire finalement,incapable de faire plus longtemps semblant d'en vouloir à celle qu'il aimait. Le silence fut rompu par la délicieuse voix de sa petite amie qui le traitait,gentillement de bébé. Le pire c'est qu'il assumai parfaitement ce côté de sa personnalité.

-Je sais! Même que tu ne peux pas te passer de moi,comme une petite fille avec son doudou.

Dit il en éclatant ensuite de rire à nouveau. Le rire de Yasuo était quelque chose de surprenant. Il ressemblait à la fois à celui qu'aurai un enfant de 5-6 ans et aussi à celui d'un jeune homme de son âge. C'était très touchant et ça renforçait le côté garçon-homme du jeune homme. Qui bien qu'ayant 19 ans et étant mure par bien des côtés,rester malgré tout et malgré lui,parfois un grand gamin,et il ne deviendrai plus sérieux,pour rien au monde. Le monde est tellement ennuyeux quand on se prend trop au sérieux. Mais ça,seul la jeune Kurotani le savait. Devant les autres,il ne se montrait jamais ainsi,il rester un emmerdeur de première, prétentieux. Chose qui quand on le conaissait vraiment paraissait tout simplement impossible. Mais revenons en à notre scène de discussion sur le père du jeune Takeba. Il écouta attentivement ce que lui dit sa petite amie. Elle avait raison. Sur tout,encore une fois.

-Une fille comme ça? Jamais je n'en aurai voulu. Puis tu es la seule que j'ai jamais aimé ma princesse! Que lui s'en fasse d'autres ne m'étonnerai qu'a moitié. Mais je suis aussi quasiment certain qu'elle,que cette...petite pute se faire d'autres hommes que mon père,et des bien plus jeunes et plus beaux... Rien ne dt d'ailleurs que l'enfant est de lui. Mais ça,elle ne lui dira jamais. Il est tellement riche que dire qu'on a un héritier Takeba fait toute suite plus chic que de dire qu'on attend un enfant,dont à peu prêt tout les hommes du quartier pourrai être le père. Ce qui me fait le plus mal là dedans c'est qu'il se fait manipuler comme un adolescent et que quoi qu'il en pense ma mère en souffre. Mais qu'il aille pourrir en enfer.... Je ne veux plus le voir...

Trouvant moi aussi que cet instant ai déjà été assez décrit,je vais moi aussi, passer aux nouvelles choses,mais passons cette fois du point de vue du jeune homme. Une chose était certaine,depuis qu'il avait glisser ses lèvres dans sa nuque il ne pensait plus franchement à son père et à sa petite pute. Mais plutôt à tout autre chose de beaucoup plus plaisant et...excitant pour le jeune étudiant. Certes les gestes de sa petite amie étaient encore bien sage mais ce n'était pas pour autant qu'il y était insensible,loin de là même. Puisqu'il était encore tout froid et que son souffle commençait tout juste à accélérer il était trois fois plus sensible à tout ces petits gestes . Il savait être très doux avec la jeune femme car il ne souhaitait pas franchement avoir à s'expliquer avec les parents de cette dernière."Bonjour Mr,Bonjour Mme,votre fille s'est cassé la nuque alors que nous faisions follement l'amour dans mon canapé" Oui c'était impossible... Tout simplement impossible. Il sentit la main de la jeune femme qui était dans son dos glisser tout le long de ce dernier en lui arrachant moultes frissons et la sentit finalement dans sa nuque. Finalement alors que l'une de ses mains s'intéressait à se que pouvait cacher le t-shirt de la jeune femme,il la fit glisser avec douceur pour qu'elle soit bien installée. Il aurai sans aucun soucis continuer ainsi sans se poser de question si à quelques mètres d'eux n'était pas une baie vitrée qui donner sur la maison des voisins... Aussi lui avait il dit dans un murmure rempli de désir et d'amour qu'elle pouvait lui demander de monter à l'étage dès qu'elle en avait envie. Ce qui ne tarda pas puisqu'elle lui répondit très sensuellement que maintenant c'était bien ... Aussi retirat-il ses mains du t-shirt de la jeune femme et se leva en l'attrapant dans ses bras comme un marié emmène sa femme vers la chambre des noces. Il dit toujours aussi désireux:

-A vos ordre princesse...Je suis votre serviteur pour les deux prochaines heures.

Dit il en montant doucement les escaliers qui menaient vers la chambre avec Akiyo dans les bras et en couvrant son cou de baiser plus ou moins enflammés. Oui il aimait prendre son temps quand ils n'étaient qu'a deux ,quand ils étaient chez elle,ils devaient faire plus ou moins vite,mais ici ils en étaient libres... Et il adorait faire monter le désir de sa petite amie et qu'elle en fasse de même avec lui... Ils entrèrent dans la grande chambre et il l'installa sur le lit,se penchant au dessus d'elle,laissant ses mains reprendre leur place sur le ventre plat de la jeune femme et laissant ses lèvres s'aventurer un peu plus bas sur la gorge en tirant presque sur le t-shirt pour découvrir un peu plus de peau qu'il ne le devrai...

Mais... Disons que c'est pareil, enfin presque, mon amour ! Je suis dépendante de toi aussi... Je ne sais pas, mais je pense bien que non ! Tu sais, si je pouvais, je viendrais vivre avec toi ! Mais je crois que... Je ne pourrais pas, enfin pas pour le moment, on doit rester ensemble mes frères, mes soeurs et moi, mais tu dois comprendre je pense, avec cette famille ennemie, si on se séparait, ce serait un pur suicide... Mais peut-être que je pourrais prochainement, tout de même... Enfin, je viendrais une semaine sur deux, je vais laisser des affaires ici, d'ailleurs.

Oui je sais bien... Si tu avais té un autre homme, sans doute que je ne t'aurais pas laissé m'approcher très longtemps encore, enfin, sans doute serait-on séparés depuis bien longtemps. Mais c'est bien car c'est toi et que je ne peux pas me passer de la personne que tu es que j'accepte la cigarette... Enfin, un minimum. Je ne m'inquiète pas, je sais que tu me comprends pour ça et que donc tu fais ce que tu peux, de toute manière.

Moi je m'en doutais un peu, et puis je ne leur aurais pas laissé le choix de toute manière ! Soit ils t'acceptaient, soit je partais avec toi, loin ! Et je t'assure que j'en suis tout à fait capable, hein. Hoshi est un peu spéciale, c'est vrai. Mais je ne la supporte pas, sans doute que je ne l'aime pas non plus, bien que c'est un grand mot ! Et puis elle n'a pas à te faire son regard de chien battu, de toute manière. Si je la surprends en train de t'en refaire un, c'est bien simple, elle n'ira pas bien très longtemps ! Et, décidément, tu te trompera toujours dans le nom de ma soeur aînée... C'est Chika mon ange, pas Chiza. Même pas de quelques centimètres ? Même pas pour la nuit ? T'es vilain !

De ton état ? Dans quel état tu compte être encore, toi ? Et ma façon de m'habiller pour la nuit ne va pas changer des précédentes, et je ne vais pas cesser juste pour que tu reste sage, tu n'as qu'à te contenir, t'es grand ! Ton petit côté pervers ? Tu parles, il est tellement grand que ton regard te trahi toujours ! Un coup derrière la tête alors, là on verra rien ! Et puis ton cerveau même avec des coups, il n'y a aucun différence !

Oui, mais toi tu n'es pas mieux que moi, alors psht ! Et puis... Non rien !

Et si moi, j'avais été comme ça ? ... Enfin, ce serait bien choquant, même pour moi... Oui c'est vrai, cet enfant est sans aucun doute d'un autre homme que lui... Et puis, à son âge il ne doit pas lui plaire à part pour son argent. Après, si ton père ne se doute de rien, c'est son problème, pas le notre. Oui, le notre. Je pense que c'est bien que tu penses comme ça, à présent. Mais oublions-le, surtout toi. Maintenant.

Mon amour... Je crois que... La fois où tu ne... t'es pas protégé... il s'est passé quelque... chose, enfin tu vois...

» Tu m'espionnes ? O.ô [Akiyo]
» Kurotani Akiyo ;; Devil in the place.
» Kurotani Akiyo ;; Kiyo alias Tokyo's Devil.